Prisonniers et internés civils

Introduction
• Internement, travail forcé, déportation
  • Réfugiés et internés administratifs en France en 1939-40
  • L'internement administratif sous Vichy
  • L'internement des civils par les autorités allemandes sur le sol français
  • L'internement des civils par les autorités italiennes sur le sol français
  • Le S.T.O (Allemagne)
  • Le S.T.O (Norvège)
  • L'Organisation Todt
  • La déportation
  • L'internement des civils de l'Axe en Afrique du Nord après 1942
  • L'internement administratif français à la Libération
• Les prisonniers de guerre
  • Prisonniers Allemands en France
  • Prisonniers Français en Allemagne
  • Prisonniers Français aux mains de Alliés
  • Prisonniers de l'Axe en Afrique du Nord
  • Prisonniers de l'Axe en France

Camp d’Arandon (Isère)

Marques

Camp d’Arandon

143^e R.R. - 1^er B^on - 1^re Cie
Le chef du detachement

Sous la III^ème République avant la guerre

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La camp d’Arandon est aménagé dans une usine désaffectée (automobiles Vialle frères) afin d’y transférer les espagnols du palais de la houille blanche à Grenoble, dont les conditions sanitaires sont catastrophiques.

Sous la III^ème République durant les hostilités (sept. 1939 - juin 1940)

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A la déclaration de la guerre, le camp d’Arandon devient un camp pour indésirables : aux réfugiés espagnols viennent d’ajouter les ressortissants allemands et autrichiens sur le sol français.

     
 

Lettre envoyée le 16 novembre 1939 par un interné au camp d’Arandon (Isère) à destination de Villeurbanne (Rhône). Cachet de contrôle (permettant également de bénéficier de la franchise postale) du 143^ème Régiment Régional en charge de la garde du camp.

Sous le régime de Vichy

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